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Qui nous sommes

 

La CORPORATION DES PROPRIÉTAIRES DE L’ÎLE POUR LA CONSERVATION DE L’ÎLE VERTE (CPICIV) existe depuis 1989. Cet organisme sans but lucratif vise notamment à défendre l’intégrité de l’environnement naturel de l’île tout en faisant la promotion de son développement culturel, économique et social.

En créant la CPICIV et en y adhérant année après année, les citoyens de l’île Verte ont choisi de se doter d’une voix unique pour défendre un milieu de vie exceptionnel et pour promouvoir les intérêts des citoyens de l’île Verte.

La protection de notre île ne peut être la simple addition des gestes individuels. C’est pourquoi la CPICIV est un regroupement de citoyens amoureux de l’Île, unis par leur passion commune. Ils ont su, depuis la fondation, s’impliquer dans des projets communautaires originaux pour protéger notre héritage commun. La CPICIV a su faire jouer les complémentarités avec la municipalité et les autres organismes du milieu pour mobiliser l’implication du plus grand nombre afin que notre Île continue d’être cette « terre exceptionnelle ».

Plusieurs autre organismes oeuvrent sur l’Ile, tels que la Corporation des Maisons du Phare de l’Île Verte, la Société Inter-Rives, la municipalité ou le Regroupement pour la pérennité de l’île Verte.

Nous vous invitons à consulter le site officiel de tourisme de l’île Verte ainsi que la page Facebook de l’ile.

Équipe

 

Gilbert Delage

Président

Jean-François Cadieux

Administrateur

Bastien Vézina

Vice-président

Hélène Deschênes

Administratrice

Daniel Dussault

Administrateur

Marc Deschênes

Secrétaire-trésorier

Historique

La CPICIV a pris naissance à la suite des conclusions d’un inventaire patrimonial réalisé en 1989, par la firme Martin, Léonidoff, Provencher, Lepage et associés.

Cette firme recommandait, entre autres, la création d’une société autonome et sans but lucratif qui pourrait veiller à la sauvegarde du milieu en collaboration avec la municipalité et autres organismes locaux. Les lettres patentes sont émises en 1989. Depuis la CPICIV compte bon nombre de réalisations à son actif…

En 1989, le premier conseil d’administration de la CPICIV est formé de Jean-Léon Deschênes, président; Bruno Fortin, premier vice-président; Vital Caron, deuxième vice-président et Claude Daoust, secrétaire-trésorier. André Lévesque, J.-Paul Deschênes et Guy Langelier sont administrateurs (L’Insulaire, février 2008).

Jean-Léon Deschênes, premier président de la CPICIV, est décédé le 7 avril 2012. Claude Daoust témoigne dans L’Insulaire, à l’été 2012 : « C’est sous sa présidence énergique et clairvoyante que la CPICIV a été structurée, qu’elle a mis sur pied la déchetterie, qu’elle a parrainé des fouilles archéologiques, qu’elle s’est engagée dans le conseil d’administration d’Inter-Rives, qu’elle a favorisé le patrimoine de l’Île par la rénovation du fournil d’Amédée Fraser et qu’elle a travaillé à sortir de l’île environ 250 carcasses d’auto. »

Voir l’historique de la composition des C.A. de la CPICIV

Étude de l’ensemble patrimonial de l’île Verte

En 1989, à la demande de la Municipalité, une étude de l’inventaire patrimonial de l’île Verte est réalisée par le cabinet Martin, Léonidoff, Provencher, Lepage. Ce texte comporte plusieurs recommandations, dont les suivantes :

  • L’adoption d’une règlementation municipale permettant de protéger les paysages naturels et les unités de paysage bâti;
  • Le recours à divers moyens de diffusion et d’information;
  • La création d’un petit musée.

La lecture de ce document est une première étape pour toute personne qui souhaite approfondir sa connaissance de l’île et comprendre le pourquoi de plusieurs initiatives, dont les suivantes : les règlements actuels de zonage et d’urbanisme, le journal L’Insulaire et le Centre d’interprétation du patrimoine de l’île Verte (école Michaud).

L’étude recommande aussi la création d’une « société autonome, sans but lucratif, formée de résidents de l’île », qui pourrait veiller à la sauvegarde du milieu (page 82). Selon l’étude, une telle société, en collaboration avec la Municipalité et les autres organismes locaux et régionaux, pourrait contribuer à doter l’île de réalisations susceptibles d’orienter et d’affermir la sauvegarde du milieu. Or, la CPICIV, qui répondait en tout point à cette recommandation, venait tout juste d’être créée. Depuis, elle joue ce rôle.

 

 

Inventaire patrimonial

Juillet 1989

Archives de la CPICIV

La CPICIV a perdu une partie de ses archives entre 2011 et 2013. Afin d’éviter qu’un tel évènement ne se reproduise, la CPICIV a remis les archives qui lui restaient au Centre d’archives de la région de Rivière-du-Loup, et elle alimentera périodiquement le Centre. Les documents archivés peuvent être consultés durant les heures d’ouverture du Centre.

Archives – Autres

La CPICIV tient à souligner et à féliciter Clovis Dionne pour son projet d’installation d’une pêche à fascines à l’île Verte durant l’été 2022, afin de faire connaître la vie des ancêtres pêcheurs à l’île. Cliquez sur les liens pour visionner les entrevues faites par Robert Desrosiers à ce sujet. Vous pouvez également consulter le dossier sur cette installation dans L’Insulaire Automne 2022 à la page 11.

L’expérience de Clovis, Île Verte

 

Description de la fascine, Île Verte